Quels sont les différents outils d’un bon rédacteur ?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Un rédacteur est amené à rédiger des contenus pour le public. Qu’il s’agisse de communiquer une information ou de mettre en avant les produits d’une société, cela demande une certaine polyvalence. Afin d’optimiser le temps de travail, il est recommandé d’utiliser les meilleurs outils. Qu’en est-il de ces outils pour rédacteur ? Découvrons-le ensemble, et ce, à travers cet article.

La base : un ordinateur performant

La rédaction web est un métier en constante évolution, qui implique une utilisation intensive d’un ordinateur. Pour cela, il est important d’avoir un matériel optimisé qui répond aux besoins spécifiques du travail de rédacteur en ligne.

Tout d’abord, la taille de l’écran est un élément crucial pour le confort du rédacteur. Privilégier une dimension supérieure à 13 pouces permet de réduire la fatigue oculaire et d’améliorer la lisibilité du texte. La qualité de l’image est également un facteur important, car elle peut affecter la motivation et l’inspiration du rédacteur.

Le processeur et la capacité de stockage du disque dur sont également des éléments clés. Des performances élevées en termes de traitement et de stockage de données sont nécessaires pour le travail de rédaction en ligne. Un ordinateur de qualité peut coûter cher, mais c’est un investissement à long terme qui évitera des problèmes pour cinq à dix ans.

Il est également important de prendre en compte d’autres éléments tels que la carte graphique, la mémoire vive, le clavier et la souris. La carte graphique est nécessaire pour afficher des images de qualité, tandis que la mémoire vive permet une exécution rapide des programmes. Le clavier et la souris sont également des éléments clés pour la saisie et la navigation sur l’écran.

En somme, pour être un rédacteur web efficace, il est essentiel d’avoir un matériel performant et optimisé pour une utilisation intensive. Les investissements dans des équipements de qualité permettent de travailler plus efficacement et plus confortablement, tout en évitant les problèmes de ralentissement ou de dysfonctionnement. Avec un ordinateur performant, le rédacteur peut se concentrer pleinement sur son travail de création de contenu de qualité et augmenter sa productivité.

Un correcteur de grammaire et d’orthographe

En tant que rédacteur web, il est important de s’assurer que le contenu que vous écrivez est de qualité. Cela implique de maîtriser la langue dans laquelle vous rédigez, que ce soit le français ou une autre langue. Cependant, même les rédacteurs les plus expérimentés peuvent commettre des erreurs de grammaire, d’orthographe ou de conjugaison. C’est là qu’interviennent les correcteurs en ligne.

Les correcteurs en ligne sont des outils précieux pour les rédacteurs web. Ils permettent de détecter rapidement les fautes d’orthographe, les erreurs grammaticales et les problèmes de conjugaison. Il existe de nombreuses plateformes gratuites qui proposent ce service, comme Scribens, Reverso et Language Tools. Ces outils sont faciles à utiliser et peuvent vous faire gagner un temps précieux.

En utilisant un correcteur en ligne, vous pouvez améliorer considérablement la qualité de votre contenu. Cela peut vous aider à vous démarquer de la concurrence en offrant un contenu plus professionnel et plus facile à lire pour vos lecteurs. Les correcteurs en ligne sont également utiles pour les rédacteurs qui écrivent dans une langue étrangère, car ils peuvent vous aider à traduire rapidement des phrases ou des expressions.

Il est important de noter que les correcteurs en ligne ne sont pas parfaits. Ils peuvent manquer certaines erreurs ou parfois signaler des erreurs qui ne sont pas vraiment des erreurs. Il est donc important de relire votre contenu après l’avoir corrigé en utilisant un correcteur en ligne. Cela vous permettra de vous assurer que votre contenu est bien écrit et qu’il est facile à comprendre pour vos lecteurs.

Se munir d’un dictionnaire

Le dictionnaire est un outil indispensable pour tout rédacteur, qu’il soit débutant ou expérimenté. La langue est un outil vivant, qui évolue constamment, et même les meilleurs écrivains peuvent avoir besoin de vérifier l’orthographe, la grammaire, ou le sens d’un mot ou d’une expression. Dans le métier de rédacteur, il est essentiel d’avoir une bonne culture générale et une curiosité intellectuelle constante. C’est pourquoi les dictionnaires, qu’ils soient classiques ou en ligne, sont des alliés de choix pour les écrivains en herbe.

Les dictionnaires en ligne sont particulièrement utiles, car ils offrent une grande variété de ressources pour l’écrivain. De nombreux sites proposent des dictionnaires de synonymes, qui permettent de trouver des alternatives à un mot ou une expression, et d’éviter la répétition dans un texte. Les dictionnaires en ligne proposent également des définitions détaillées et des exemples d’utilisation, qui permettent de mieux comprendre le sens d’un mot, ou son contexte d’utilisation.

Enfin, les dictionnaires en ligne sont très pratiques pour les rédacteurs qui travaillent sur des thématiques étrangères. Ils peuvent ainsi traduire des mots ou des expressions, ou chercher des équivalents dans leur propre langue. Cela leur permet de s’adapter à leur public cible, et de produire des contenus de qualité, qui seront facilement compréhensibles et appréciés.

Un générateur de balises HTML

Il est important pour un rédacteur web de connaître les bases de l’HTML. Cependant, il n’est pas toujours facile de s’y retrouver, surtout si l’on n’est pas un expert en informatique. C’est pourquoi il est conseillé d’utiliser un générateur de balises HTML. Ce type d’outil permet de créer rapidement des balises HTML sans avoir à les écrire manuellement. Il suffit d’entrer le contenu à mettre en forme, de sélectionner le type de balise souhaité et le générateur se charge de créer le code correspondant. Il est ainsi possible de générer des balises pour les titres, les paragraphes, les listes, les images, les liens, etc.

Parmi les générateurs de balises HTML disponibles en ligne, on peut citer HTML.am, HTML Basix ou encore HTML Cleaner. Ces outils sont gratuits et permettent aux rédacteurs web de gagner du temps en évitant d’avoir à mémoriser l’ensemble des balises et de leurs attributs. En résumé, utiliser un générateur de balises HTML est un moyen simple et efficace pour structurer le contenu d’un article, améliorer l’expérience utilisateur et optimiser le référencement SEO sur Google. Cet outil est particulièrement utile pour les rédacteurs web débutants ou ceux qui n’ont pas de connaissances approfondies en informatique.

Des outils SEO pour aider le rédacteur web

Les outils SEO sont devenus indispensables pour tout rédacteur web qui souhaite réussir le référencement de son contenu sur Google. Bien que des centaines d’outils soient disponibles sur le web, nous allons nous concentrer sur deux outils : Semrush et Yourtext.guru, disponibles en versions gratuites et payantes.

Semrush est une plateforme très complète qui permet de réaliser l’audit SEO d’un site, une analyse de trafic ainsi que de la concurrence. Cela peut aider à identifier les mots-clés à cibler pour optimiser le contenu. Semrush peut également analyser les backlinks d’un site et ainsi aider à déterminer une stratégie pour obtenir des liens de qualité.

Yourtext.guru, quant à lui, est un générateur de mots-clés qui aide les rédacteurs à choisir les requêtes les plus pertinentes pour leur contenu. L’outil peut également réaliser une analyse sémantique à la demande, ce qui permet de vérifier la pertinence du contenu par rapport aux attentes de l’utilisateur.

En utilisant ces outils, les rédacteurs web peuvent maximiser l’efficacité de leur stratégie SEO. Les mots-clés ciblés seront plus précis et adaptés à leur public cible, et l’analyse sémantique aidera à améliorer la qualité globale du contenu. Ces outils peuvent aider à identifier les points forts et les faiblesses du contenu, ce qui peut aider à développer une stratégie de contenu plus efficace pour le référencement naturel sur Google.

Des banques d’images gratuites pour enrichir son article

Dans la rédaction web, les images jouent un rôle essentiel dans l’impact visuel d’un contenu. Cependant, il est important de sélectionner avec soin les médias que l’on utilise afin de ne pas enfreindre la loi sur le droit d’auteur. En effet, la plupart des photos que l’on trouve sur le web sont protégées par des droits d’auteur, ce qui signifie que leur utilisation sans autorisation peut entraîner des sanctions.

En France, le droit d’auteur est également appelé « copyright ». Pour éviter les problèmes liés à l’utilisation d’images protégées, il est recommandé de rechercher des images en « Licences Creative Commons ». Ces licences permettent l’utilisation d’images sans avoir à payer de droits d’auteur. Il est possible de trouver ce type de médias en effectuant une recherche directement sur Google en utilisant les filtres adéquats.

Une deuxième alternative est de se rendre sur des banques d’images freemium telles que Unsplash, Pexels ou Pixabay. Ces sites proposent une grande variété d’images libres de droits que l’on peut utiliser gratuitement pour les projets personnels et commerciaux. Il est également possible d’y trouver des vidéos et des illustrations

read more

Comment les internautes font-ils leur recherche sur Internet ?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Dans le domaine du SEO, qui signifie Search Engine Optimization, il est crucial de comprendre le comportement de recherche sur Internet des internautes. En effet, optimiser un site web ne se résume pas à insérer un mot-clé sur Google et espérer apparaître en première position. Il s’agit d’une tâche bien plus complexe, qui nécessite une stratégie de référencement solide.

L’importance de comprendre les habitudes des utilisateurs en ligne

Les entreprises investissent du temps et de l’argent pour que leurs sites se positionnent sur la première page des résultats de recherche Google. Cependant, en pratique, les utilisateurs ne se contentent pas de cliquer sur le premier résultat. Pour trouver des informations ou des produits, ils n’hésitent pas à effectuer trois, quatre ou même cinq requêtes consécutives. D’où l’importance d’analyser les comportements des internautes et d’optimiser son site en conséquence.

Il est essentiel d’avoir du recul pour savoir comment les internautes effectuent leur recherche sur Internet. Ils sont souvent à la recherche de contenu de qualité qui peut les aider à résoudre un problème ou à répondre à une question.

L’auto-observation pour le référenceur

Vous vous demandez comment les internautes opèrent lorsqu’ils font une recherche en ligne ? L’auto-observation est un exercice efficace.  Demandez-vous comment vous procédez lorsque vous cherchez des renseignements sur un sujet donné ou comment vous trouvez le nouveau single de votre chanteur favori.

Se poser de telles questions est essentiel pour comprendre le processus. Par exemple, si vous cherchez un prestataire de service, vous pouvez aller sur Google, saisir le service dont vous avez besoin, ajouter le nom de votre ville, et parcourir les SERP, qui signifie Search Engine Results Page. Vous pouvez également consulter des annuaires, tels qu’Evalom, pour comparer les offres et les prix. Les agences SEO peuvent aussi représenter de belles alternatives.

Quelques techniques utilisées pour une recherche sur Internet

Démarrer avec des mots-clés

En général, un internaute commence sa recherche sur Internet avec un besoin en tête. Pour trouver des informations, il formule une ou plusieurs requêtes de recherche en utilisant des mots-clés spécifiques.

Evaluer les résultats de la recherche sur Internet

Une fois les résultats affichés, l’internaute prend le temps de les étudier. Il privilégie souvent les sites ayant une forte autorité de domaine dans le domaine qui l’intéresse.

La conversion suivie d’une décision

Après avoir consulté différents sites, l’internaute prend une décision souvent subjective, que ce soit pour effectuer un achat ou pour s’informer sur un sujet. Cette étape est cruciale et est connue sous le nom de conversion.

Comment optimiser vis-à-vis des moteurs de recherche sur Internet ?

Comprendre comment les internautes réalisent leurs recherches est la première étape. La suivante consiste à adapter votre stratégie de référencement en conséquence. Cela inclut l’optimisation des mots-clés, la création de contenu de qualité, et le travail sur l’autorité de domaine. Là encore, il n’est pas encore question de campagnes publicitaires.

L’analyse du trafic web est également essentielle. Il s’agit d’étudier les données relatives aux visiteurs de votre site. Cela peut vous aider à comprendre quel type de contenu attire le plus d’utilisateurs.

Enfin, la mise en place de tactiques de référencement efficaces est cruciale. Cela inclut des choses comme l’optimisation de la meta description, l’utilisation de balises H1, H2, H3 pour structurer le contenu, et s’assurer que le site est rapide et réactif.

S’adapter au comportement de recherche sur Internet des internautes est essentiel dans l’optimisation pour les moteurs de recherche. En comprenant comment les utilisateurs en ligne recherchent des informations, et en mettant en place une stratégie de référencement efficace, vous pouvez améliorer la visibilité de votre site web et, à terme, augmenter votre trafic et vos conversions. Dans un monde où la compétition en ligne est féroce, il est impératif d’être agile et de se tenir au courant des meilleures pratiques en matière de SEO.

read more

Comment faire du backlinking avec Ahrefs Backlink cheker?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Les référenceurs sont unanimes à ce sujet : le netlinking est la partie la plus laborieuse du processus SEO. Face à cette difficulté, il est judicieux de se faire aider par de bons outils. L’on cite, à ce titre, le site Ahrefs qui permet d’obtenir des backlinks de qualité. Nous vous montrons, dans cet article, quelques techniques pour faire du backlinking avec Ahrefs Backlink Checker.

Quand rechercher des backlinks sur Ahrefs ?

Le backlinking est une technique SEO qui fait suite à la création de contenu. En effet, un backlink est un lien qui lie une page web à une autre. Sans du contenu de qualité et susceptible d’intéresser l’internaute, celui-ci ne servirait à rien.
La création de contenu représente environ 50 % du travail dans le référencement naturel. Afin de combler les 50 % restants, le backlinking avec Ahrefs est incontournable. Dans cette optique, les outils SEO comme Ahrefs sont d’une grande aide.

Débuter son backlinking avec Ahrefs

Pour avoir un aperçu de ses backlinks, il suffit de se rendre sur https://ahrefs.com/fr/backlink-checker. Une fois que la page est chargée, intégrez votre nom de domaine à l’intérieur du champ correspondant puis validez. Cette opération vous redirige automatiquement vers le profil de backlink de votre site internet.

Ahrefs attribue un score allant de 1 à 100 à votre nom de domaine. Cela s’illustre par la mention « Rang Domaine«  en haut à gauche. Celle-ci se réfère à la force du nombre de backlinks que vous recevez sur votre site internet. Juste à côté, vous avez « Liens entrants«  qui affiche le nombre total de liens qui pointent vers votre interface virtuelle. Et enfin, tout à droite, sur « Domaines référents« , vous avez le nombre des différents domaines qui pointent, à leur tour, vers un contenu de votre site web.

Dans notre exemple sur « petanque-web.com« , le rang du domaine se chiffre à 24. Par ailleurs, l’on a 5 994 liens qui pointent vers la plateforme sur uniquement 104 noms de domaines différents. En calculant la moyenne, cela fait environ 60 liens par site. Le but, ici, sera d’augmenter ce nombre-là.

Que représentent les liens dofollow et nofollow ?

Un lien dofollow permet à Google de valoriser un site internet, notamment lorsque le site qui renvoie ce lien possède une certaine notoriété. À l’inverse, un lien no follow ne transmet rien. Il n’influence alors pas le ranking.
Par défaut, tous les backlinks qui mènent vers votre site internet sont en dofollow. La mention « nofollow«  apparaît donc uniquement lorsque l’administrateur de la page référente a spécifié volontairement ne pas vouloir suivre ce lien.
Dans la pratique, avoir 100 % dofollow dans la section « Liens entrants » est quasi impossible. Cela s’explique par l’impossibilité de contacter certains sites. Il se peut aussi que ces derniers ne soient pas particulièrement intéressants à avoir en tant que dofollow.

Comment procéder pour optimiser son backlinking ?

Vous souhaitez augmenter votre nombre de domaines référents ? Pensez à contacter des sites voire des annuaires susceptibles de vous allouer du trafic. Cela peut prendre du temps étant donné que le passage en dofollow se fait au cas par cas.

La première chose à faire sera donc d’analyser, un à un, les liens de la liste. Pour chaque page référente, focalisez-vous sur le rang de domaine. Si celle-ci présente un score supérieur au vôtre, c’est qu’elle mérite toute votre attention. Obtenir un lien dofollow de cette source impactera positivement votre note Google. Par ailleurs, les pages qui ont un rang de domaine équivalent au vôtre peuvent être aussi intéressantes, à moins qu’il s’agisse d’un site qui possède une thématique totalement différente du vôtre.

En plus du rang de domaine, la colonne « Trafic » sera aussi à prendre en compte dans le tri. Un lien possédant un rang faible, mais qui vous amène du trafic peut, en ce sens, être considéré. Pensez alors à combiner ces deux notes. Cela vous permettra d’arriver sur de très bons sites, ce qui vous fera du bonus en termes de référencement.

Sur les 100 liens présentés dans la version gratuite d’Ahrefs, il est fort probable que vous ne puissiez contacter qu’une cinquantaine. Alors qu’une grande majorité va refuser, une dizaine de sites vous répondront favorablement, mais chercheront une contrepartie en retour. Toutes ces étapes font du backlinking un processus long et laborieux. Néanmoins, cette technique est très importante si vous voulez monter en visibilité et en trafic. Enfin, une publicité payante peut être réalisée en parallèle, toujours, dans le but d’optimiser le référencement de votre site web.

read more

Comment créer une bannière publicitaire en utilisant Canva ?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Créer une bannière publicitaire Canva en partant de zéro n’est pas donné à tous. Vous ne maîtrisez pas Photoshop et pourtant, vous voulez animer votre site web ? Ne vous inquiétez pas. L’outil Canva vous facilite la tâche. C’est gratuit et simple à utiliser. Bref, Canva est accessible à tous.

S’inscrire et se connecter à l’outil Canva

La première étape pour créer une bannière publicitaire Canva sera, bien évidemment, de lancer Canva sur votre ordinateur. Si vous êtes nouveau sur le site, vous devrez créer un compte utilisateur Canva. Pour ce faire, inscrivez-vous en renseignant votre adresse mail. Sachez que vous pourrez également le faire directement par le biais de votre compte Google ou Facebook. Une fois inscrit au programme Canva, il ne vous reste qu’à vous connecter en cliquant sur le bouton en haut à droite.

Focus sur les méthodes de création d’une bannière publicitaire Canva

Pour concevoir une bannière publicitaire Canva pour votre site internet, le moyen le plus rapide sera de taper « bannière » dans la zone de recherche. A ce titre, Canva vous propose 4 dimensions au choix. Il vous suffira de cliquer sur l’une d’entre elles pour aboutir à des modèles de bannières prêtes à l’emploi.

Bien que toutes les images soient modifiables, certains clichés ne seront accessibles que pour les utilisateurs optant pour la version payante Canva. Accessible à partir d’une dizaine d’euros par mois, cette version pro offre plus de fonctionnalités Canva. Cependant, si vous êtes novice dans le monde de la création graphique, Canva freemium vous conviendra parfaitement.

Une autre manière de concevoir sa bannière est de le faire à partir d’une feuille blanche. Cela nécessite néanmoins plus de travail, de l’imagination et surtout une certaine expérience dans le domaine.

Modifier et personnaliser ses créations

Ça y est, vous avez choisi votre canevas ? Attaquez-vous maintenant à la partie adaptation. A gauche, vous remarquerez des icônes, des formes, des polices… Bref, tous les éléments essentiels pour pouvoir obtenir la bannière Canva de vos souhaits. Si les images présentées par Canva ne vous satisfont pas, vous pourrez également importer des photos directement de votre machine. Dans le but de vous familiariser avec l’outil Canva, n’hésitez surtout pas à fouiller un peu partout. 

Enregistrer sa bannière publicitaire sur Canva

Tout le travail réalisé en amont serait vain sans cette étape finale. En effet, à la fin de la customisation, il va falloir penser à conserver son fichier Canva. Hormis cet enregistrement, vous pourrez télécharger, imprimer ou encore partager l’image nouvellement créée via les réseaux sociaux.

Si votre bannière inclut une image seule, privilégiez le format JPEG. Le format GIF, lui, s’adresse plutôt aux animations. Enfin, si votre bannière publicitaire inclut un son en plus de l’animation, un format MP4 sera nécessaire.

Pour conclure, il ne faut surtout pas oublier que le visuel prime sur l’écrit dans la réalisation d’une bannière publicitaire Canva. Celle-ci se doit effectivement d’être simple et sans fioritures afin de ne pas prêter à confusion.

read more

Comment rechercher les mots-clés avec Semrush ?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Trouver régulièrement de bons mots-clés Semrush est devenu une obligation pour tout blogueur. En effet, les moteurs de recherche se développent en même temps que les besoins de l’audience. Il importe alors de trouver de nouvelles thématiques pertinentes afin d’améliorer son contenu. Maîtriser l’outil SEMrush devient indispensable pour obtenir plus de leads, de clics et entre temps, de ventes.

Trouver ses mots-clés avec l’approche traditionnelle

À l’heure où les logiciels comme SEMrush facilitent la quête de mot-clé, la méthode classique demeure d’actualité. L’idée est alors de se concentrer sur un ou plusieurs mots-clés racines qui décrivent au mieux votre activité. Ces termes vont être à la base des mots-clés longue traîne que vous utiliserez ensuite dans vos articles. Cette méthode n’a rien d’obsolète. Il s’agit même d’un préalable pour passer à un niveau supérieur et utiliser un outil de qualité comme SEMrush.

Rechercher un sujet via « Topic Research »

Topic Research est un dispositif du logiciel Semrush qui vous permet de trouver des sujets ou titres accrocheurs. C’est un outil simple mais efficient. Sans avoir à réaliser une analyse approfondie, celui-ci affiche les concepts qui ont la cote auprès de l’auditoire.

Pour ce faire, tapez le thème qui vous intéresse dans la barre de recherche. Pour un aboutissement plus précis, pensez à délimiter votre cible sur le plan géographique. Les résultats vous seront affichés de différentes manières. Basculez entre « Cartes à la vue », « Explorer », « Vue d’ensemble » et « Mindmap » pour découvrir les interrogations les plus fréquentes de l’audience sur le sujet. Vous y trouverez par la même occasion les titres qui ont le plus d’impact ainsi que les recherches associées.

Obtenir ses mots-clés grâce à « Keyword Magic Tool »

Cet outil SEMrush vous permet de réaliser un bilan approfondi sur les mots-clés. Vous pourrez alors ériger toute une liste de mots-clés longue traîne de qualité.

Pour commencer, saisissez votre mot-clé racine puis cliquez sur « Search ». Si vous n’êtes pas limité à 10 requêtes par jour, vous pouvez scruter tous les groupes et sous-groupes qui vous seront proposés. Néanmoins, vous gagnerez du temps en triant par exemple en fonction du volume de mots-clés.

Les filtres de question sur Semrush sont aussi recommandés. Les mots-clés obtenus génèrent du très bon trafic. C’est le cas notamment des « featured snippets ». Chaque filtre avancé que vous définissez s’appliquera logiquement à toutes vos recherches.

L’outil « Keyword Difficulty » de SEMrush

Se placer sur les deux premières pages de Google n’est pas chose aisée. Vous devrez alors fournir des efforts dans votre choix de mots-clés. Grâce au « KD », vous pourrez estimer la complexité à vous positionner par rapport à vos concurrents.

La difficulté du mot-clé se traduit en un pourcentage allant de 1 % à 100 %. Plus ce chiffre est élevé et plus il sera compliqué d’être bien placé dans les SERP Google. Tirez profit de cette information pour découvrir si le mot-clé en question vaut vraiment la peine d’être exploité ou non. L’idéal, ici, sera de privilégier les mots-clés affichant un faible niveau de concurrence.

S’inspirer de la concurrence pour ses mots-clés

Cette méthode est assez atypique. En effet, au lieu d’utiliser directement le mot-clé racine, vous vous basez plutôt sur les sites les mieux placés sur ce thème-là. C’est possible grâce à la fonctionnalité « Recherche Organique » de SEMrush.

Vous obtiendrez ainsi une liste de vos principaux concurrents ainsi que des mots-clés à l’origine de leur haut classement sur Google. Dans cette perspective, il est aussi préconisé de trier la liste obtenue en fonction du nombre de mots-clés en commun et du niveau de concurrence.

Sans quitter le cadre de votre domaine racine, la prochaine étape sera d’aller sur « Positions ». Cet onglet vous donnera un aperçu des mots-clés pour lesquels un domaine se place en haut sur les SERP. Sachez que tous les mots-clés sont suivis d’une URL relative à leur page de destination. Combiner plusieurs filtres avancés vous fera obtenir des informations pertinentes en un temps record.

Pour aller plus loin, il est même recommandé de vérifier les changements dans les classements des sites concurrents. Il vous suffira d’aller sur « Changements de position » puis notifier les mots-clés qui sont « perdus » ou en « régression ». Dans le premier cas, le domaine ne figure plus dans le top 100. Dans le second cas, il y est toujours, mais sa position a chuté.

Utiliser des outils avancés SEMrush

Dans le processus d’analyse des mots-clés, SEMrush met à la disposition de ses abonnés diverses techniques avancées. Ce sont CPC Map, Organic Traffic Insights, Post Tracking, Sensor et PPC Keyword Tool.

CPC Map

Il s’agit d’un instrument qui dispose d’une carte interactive. Cette dernière dévoile les frais de publicités adoptés dans plusieurs pays et provinces. Vous pourrez vous renseigner sur le « coût par clic » mais aussi sur la demande pour développer vos prestations de service.

Organic Traffic Insights

Grâce à cet outil, vous pourrez avoir les résultats de Google Search Console, SEMrush et Google Analytics dans un tableau de bord unique. C’est avantageux dans la mesure où vous obtiendrez des mots-clés plus précis, ce qui permettra à votre site Internet d’être plus performant.

Post Tracking

Le « guest posting » est une solution utilisée pour propulser un label ou un produit sur le marché. Dans ce cas, il devient difficile de mesurer le résultat de son acharnement. Vous devrez donc vous munir du bon outil. Ici, Post Tracking vous aidera à superviser la performance de vos articles sur des sources externes.

SEMrush Sensor

La position d’un mot-clé dans les pages de résultats peut être très volatile. Cela peut provenir de Google en lui-même ou de votre site web. Dans les deux cas, Sensor vous le fait savoir. Vous serez alerté en temps et en heure, ce qui vous permettra de réagir le plus tôt possible.

PPC Keyword Tool

PPC Keyword Tool vous aide à trouver des mots-clés de qualité. Selon votre thématique, il expose des mots-clés qui en valent réellement la peine. Ces derniers vous serviront dans votre stratégie de campagne en marketing digital. Un autre point important, c’est que cet outil est capable de vous montrer le volume de recherche exact ainsi que le CPC d’un mot-clé à l’intérieur d’une zone géographique prédéfinie.

Dans une optique SEO, SEMrush est un incontournable. Cet outil performant vous permet de rechercher les bons mots-clés pour développer votre business en ligne. Vous n’êtes pas encore abonné ? Essayez la version gratuite pour commencer. Vous pourrez ensuite basculer sur une offre premium pour profiter de toutes les fonctionnalités du logiciel.

read more

Quel abonnement SEMrush choisir ?

  • Posted by: Nirina
  • Date:

SEMrush est un outil qui permet d’optimiser le positionnement de votre site web sur les moteurs de recherche. Disponible en version gratuite et payante, ce logiciel suscite l’intérêt de nombreux blogueurs et entreprises. Quelles sont les différentes formules proposées ? À quels prix ? Nous en parlons dans cet article.

Abonnement gratuit ou payant

SEMrush est un outil complet et accessible à tous. Il existe deux versions du logiciel : une première gratuite et une deuxième payante. Toutes deux sont excellentes néanmoins, SEMrush gratuit possède ses limites. Il n’admet effectivement que 10 requêtes par jour. Contrairement aux programmes concurrents, cette version freemium a cependant le mérite de ne pas être limitée dans le temps. Bien sûr, la fraction de données à analyser reste quand même très restreinte.

Focus sur les formules payantes

SEMrush propose 3 types de formules payantes en fonction des besoins de sa clientèle. Il existe alors une formule Pro à 119 USD, une formule Guru à 229 USD puis une formule Business à 449 USD par mois. Ces offres peuvent sembler onéreuses, toutefois, il est plus avantageux d’acquérir un service en pack plutôt que de prendre chaque fonctionnalité individuellement.

Le pack SEMrush Pro

SEMrush rassemble plus de 40 outils destinés à l’optimisation web. En vous abonnant à SEMrush Pro, vous pourrez observer de près vos concurrents. Cela passe par la source de leur trafic, leurs rangs mais aussi leurs résultats sur Google et sur les réseaux sociaux comme Facebook, Instagram ou Twitter.

Cette offre permet également l’optimisation de 3 projets qui inclut l’analyse de 500 mots-clés. Grâce à cette formule, vous avez la possibilité de suivre 50 profils de médias sociaux et visiter 100 000 pages en 1 mois seulement. Si vous êtes un travailleur indépendant ou une petite start-up à budget limité, SEMrush Pro est fait pour vous.

La formule SEMrush Guru

L’abonnement SEMrush Guru bénéficie de toutes les fonctionnalités Pros. Ses utilisateurs jouissent néanmoins de limites plus étendues. À titre d’exemple, le nombre de projets évolue à 15 et les mots-clés suivis à 1 500 par mois. L’audit du site, lui, s’élève à 300 000 pages mensuelles. Cette option vous permet de concevoir des rapports PDF avec votre logo inscrit là-dessus.

Semrush permet aussi aux titulaires de comptes Guru de scruter sa base de données. Ils peuvent alors remonter jusqu’aux informations qui datent de janvier 2012. Grâce à ce forfait, vous pourrez surveiller la visibilité de votre site web à tout moment, et ce, via différents appareils.

L’abonnement Semrush Business

Ce troisième pack  répond aux besoins d’une entreprise spécialisée dans le marketing digital ou le commerce en ligne. En vous abonnant, vous pourrez optimiser 25 projets et procéder à l’analyse de plus d’un million de pages par mois. Vous aurez à votre disposition des rapports contenant plus de 50 000 données par jour qui vous permettront d’analyser la concurrence.

SEMrush Business vous accorde tous les avantages de la formule Guru. Pour 449 euros, vous profiterez bien évidemment de fonctionnalités supplémentaires à savoir les rapports de marque blanche et l’accès à l’API SEMrush. La première option vous permet de faire des simulations. Quant à la deuxième, elle, vous autorise à personnaliser l’interface de votre tableau de bord à votre guise.

Votre choix d’abonnement SEMrush dépendra en grande partie de vos besoins. Si vous êtes un petit entrepreneur et que vous êtes confiant par rapport au potentiel de votre projet, la version Pro est suffisante pour se positionner sur les SERP. Si par contre, vous êtes une entreprise, orientez-vous vers les packs Guru et Business. Avec une bonne maîtrise de l’outil SEMrush, vous verrez que votre trafic évoluera à la vitesse grand V.

read more

Interpréter les données Google Search Console

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Google Search Console renseigne sur la performance globale d’un site internet. Les informations s’affichent sous forme de graphes et de tableaux, ce qui reste difficile à élucider notamment pour une première utilisation. Dans cet article, nous vous montrons comment interpréter ces résultats chiffrés.

Comment se présente Google Search Console ?

Ça y est, vous êtes sur l’interface Google Search Console ? Sachez tout d’abord que l’objectif de cet outil est de vous permettre de voir comment les robots Google indexent vos pages. Après vous être identifié, vous devriez tomber sur une sorte de tableau de bord.

Google Search Console vous offre une vue d’ensemble sur trois grands points à savoir la performance de votre site internet, la couverture ainsi que les améliorations à faire. Pour accéder aux informations détaillées, vous pourrez soit cliquer sur la mention « Ouvrir le rapport » en haut  à droite de chaque bloc soit cliquer sur les onglets correspondants dans le menu à gauche.

La section performance

La première étape sera de sélectionner le type de recherche qui vous intéresse. À défaut de filtre, l’outil affichera la mention « web » par défaut. Vous aurez ensuite à configurer la période d’analyse dans l’onglet « Date ». Cette dernière est personnalisable et admet un diagnostic sur les 16 derniers mois.

 

Interpréter les indicateurs de performance

Le premier carré à gauche renseigne sur le nombre total de clics effectués sur l’intégralité du site. Nous avons ensuite le nombre total d’impressions qui désigne la fréquence à laquelle les internautes ont pu voir votre url dans les résultats des moteurs de recherche. Le CTR, quant à lui, n’est autre que le rapport entre le nombre d’affichages et le nombre de clics. En ce qui concerne la position moyenne, c’est le classement de votre site internet sur les pages de recherches Google.

En cochant la case sur le nombre de clics par exemple, vous verrez apparaître une courbe et un tableau, tous deux représentatifs de l’évolution de ce paramètre. Faites de même pour les trois autres critères à savoir les impressions, le CTR moyen et la position moyenne. Chaque indicateur arbore une couleur différente, ce qui vous permettra de faire une comparaison.

Comment utiliser ces informations à son profit ?

De ces quatre critères, le CTR est celui qui intéresse le plus. Si votre ratio diminue, cela traduit que les internautes ont votre site sous leurs yeux mais qu’ils préfèrent s’orienter vers les sites concurrents. Pensez alors à rectifier le tir en adoptant un titre plus accrocheur. Vous pourrez également faire des petites retouches valorisantes sur votre méta description.

Si vous n’êtes pas favorisés par les robots Google, pensez à rédiger des contenus sur des nouvelles requêtes. En ce sens, privilégiez les mots-clés qui bénéficient d’une bonne impression malgré leur taux de clics réduit.

La section « Inspection de l’URL »

Il s’agit d’une fonctionnalité qui permet à l’utilisateur de Google Search Console de vérifier si son site est effectivement indexé par les moteurs de recherche. Une validation du site internet par le service Google est donc un pré-requis pour en bénéficier.

Examiner l’indexation d’une URL

En validant l’URL que vous avez inscrite plus haut, vous obtiendrez un rapport de Google. Ce dernier pourra vous certifier si votre URL a déjà été soumise à une indexation. Vous saurez, en quelques clics, si le moteur de recherche a déjà répertorié votre page. Même le moment où Google est passé pour la dernière fois sera porté à votre connaissance.

Inspecter directement une URL

Cette démarche vous permettra de confirmer si votre URL est bel et bien fonctionnelle et si l’on peut y accéder sans problème. Le cas échéant il sera effectivement impossible pour Google de l’indexer.

La première étape sera donc de vous rendre sur Google Search Console. Ensuite, tapez le nom de domaine de votre site web. Faites en sorte de saisir une URL complète comme https://www.petanque-web.com/ et non petanque-web.com. Il ne vous reste plus qu’à aller sur « Tester l’URL en direct » ou « Test Live URL » en haut à droite.

Que faire des erreurs et avertissements ?

Google contrôle si votre URL recèle des erreurs pour vous les communiquer ultérieurement.

La mention « avertissement » doit attirer votre attention. Toutefois, il se peut que l’action attendue ne soit pas de votre côté. Un avertissement ne signifie pas forcément que votre page n’a pas été trouvée.

A l’inverse, l’ « erreur » traduit que celle-ci n’est pas indexée par Google. Cela peut résulter d’une faille au niveau de l’URL. Dans ce cas, pensez à la rectifier dans les plus brefs délais. En repérant une erreur plus tôt, votre page garde ses chances à être bien placée sur les SERP. Une fois la correction faite, n’oubliez pas de « Demander une indexation ».

La section couverture

Ce rapport permet d’accéder aux informations sur toutes les pages indexées de votre site internet. Les défaillances rencontrées par le Googlebot dans le cadre d’une indexation y sont exposées.

 

Les erreurs classées par Google Search Console

La rubrique couverture regroupe les différentes erreurs d’indexation. Ces dernières sont regroupées en plusieurs catégories : les « erreurs » en rouge, les valides avec avertissements en jaune, les valides en vert et enfin les exclues en gris.

Le statut « erreur » confirme que la page n’est pas indexée. De nombreuses raisons peuvent effectivement expliciter cette défaillance. C’est le cas, par exemple, d’une page qui affiche 404. Il se peut, entre autres, que la page en question soit bloquée par un fichier « robots.txt ». Les erreurs qui s’ensuivent sont alors regroupées dans la sous-catégorie « valides avec des avertissements ».

La section « Valide » renferme, quant à elle, les pages valides c’est-à-dire qui ne présentent aucune difformité selon les standards de Google. Enfin, les « Exclues », elles, mettent en évidence les pages non indexées mais de façon volontaire.

Comment rectifier les écarts ?

Hormis l’affichage en erreur 404 et l’entrave du fichier robots.txt, les pages « no index » et en doublons constituent des causes fréquentes des erreurs. Or, pour optimiser son indexation, il faut veiller à faire le minimum d’erreurs possible.

D’une part, l’idée est de les enlever du « robots.txt » le plus tôt possible en vue d’une indexation ultérieure. D’autre part, il faut les retirer puis les désindexer avant de les réintégrer à nouveau à l’intérieur de l’outil Google.

Les autres sections Google Search Console

Dans une optique référencement, d’autres points sont à prendre en compte sur Google Search Console.

Le sitemap

 

 

Le sitemap est une sorte de carte qui permet d’accéder aux différents recoins d’un site web. Il recèle des informations essentielles comme la valeur d’une page par rapport à ses semblables. Celui-ci dévoile également la date de dernière mise à jour de votre URL. Une vérification s’impose de temps en temps, notamment sur les décalages qui existent entre le nombre de pages réels et le nombre de pages indexées par les moteurs de recherche.

L’ergonomie mobile

 

 

Cette partie permet de savoir si votre site web est optimisé responsive. Vous trouverez alors, plus bas, les différentes recommandations de Google afin de garantir une meilleure expérience utilisateur à vos visiteurs.

Dans un premier temps, il se peut que vous deviez ajuster la taille de la police de votre texte pour que celle-ci convienne au mieux à un Smartphone. Google Search Console vous avise également si l’écran est trop petit par rapport au texte qu’il contient.

Les actions manuelles dans la section « sécurité »

 

 

Cette partie doit faire l’objet d’un contrôle régulier. Cela concerne surtout la rubrique des « actions manuelles » qui fait un inventaire de toutes les mauvaises pratiques à savoir les techniques de black hat SEO.

Si ces dernières sont repérées par un analyste de Google, le moteur de recherche vous fera un rapport là-dessus dans le centre de messagerie de Google Search Console. Le cas échéant, si votre site web est correct, vous aurez une coche verte avec mention « Aucun problème détecté ».

Les liens

 

 

Dans cet onglet, vous aurez un aperçu de tous les liens répertoriés sur votre plateforme virtuelle. Utilisez ces données pour booster votre link building. Rajoutez par exemple des liens aux pages qui ne disposent pas de maillage interne. Encore, vérifiez que vos ancres ont bien été rédigés soigneusement. Lors de cette vérification,  n’hésitez pas à remplacer certains liens non-pertinents par des backlinks jugés de qualité.

 

read more

Transférer ses appels avec Wildix Collaboration

  • Posted by: Nirina
  • Date:

Wildix Collaboration est un outil de communication web. Il permet de faire des conférences et bien sûr des appels, quel que soit l’endroit où nous nous trouvons dans le monde. Dans cet article, nous allons vous montrer comment effectuer un transfert d’appel via cette technologie. Mais avant toute chose, il convient de distinguer deux types de transferts : le transfert assisté et le transfert aveugle.

Les deux types de transferts

D’emblée, un transfert d’appel vous permet de déléguer un appel téléphonique entrant vers un autre numéro ou un collègue de travail.

Dans le cadre d’un transfert assisté, il importe d’aviser le destinataire avant de passer l’appel. Pendant que vous lui transmettez l’information, l’appelant lui est mis en attente. Il faut alors attendre l’approbation du destinataire avant de procéder au transfert puis raccrocher.

Dans un deuxième temps, le transfert à l’aveugle, lui, ne requiert aucune notification préalable. L’appel entrant est directement redirigé vers le destinataire final.

Comment faire un transfert via Wildix ?

Quel que soit le type de transfert choisi, la première étape est de décrocher son téléphone. Vous verrez ensuite une boîte de dialogue d’appel s’afficher.

 

 

Pour un transfert assisté, il vous faudra cliquer sur le troisième icône : celui en forme de flèche. Composez le numéro du destinataire ou tout simplement son nom si celui-ci est déjà enregistré dans l’annuaire. Cela vous permettra de voir le statut de la personne en temps réel, si celle-ci est disponible, en pleine conversation téléphonique ou absente.

 

Dans le premier cas, si la personne est en ligne, nous vous conseillons d’appuyer sur le bouton d’appel à droite. Attendez que la personne réponde pour lui notifier le transfert. Il ne faut pas oublier que pendant ce temps, l’appelant attend à l’autre bout du fil. Une fois l’information transmise, appuyez sur la flèche dans le champ du destinataire.

Maintenant, passons au transfert aveugle. Décrochez l’appel, cliquez sur la flèche qui montre vers la droite et renseignez le numéro de l’agent à joindre. Jusque-là, la procédure ressemble au premier type de transfert. La seule différence, c’est qu’ici, vous transmettez directement sans besoin de l’approbation de la tierce personne. Vérifiez tout d’abord que celle-ci soit bien disponible. Puis, appuyez directement sur le bouton transfert : la petite flèche à droite du bouton d’appel.

Ça y est, votre transfert d’appel a été effectué avec succès !

read more